Capsule historique : L’enseignement de l’éducation physique 1900-1965
8 juin 2018Au 19e siècle, c’est la direction de l’école qui détermine la place que doit occuper la « culture physique » dans le cursus scolaire.
Poursuivre la lectureAu 19e siècle, c’est la direction de l’école qui détermine la place que doit occuper la « culture physique » dans le cursus scolaire.
Poursuivre la lectureL’enseignement des arts (1894-1950).
Poursuivre la lectureEn 1930, le commissaire Augustin Frigon propose de faire installer les infrastructures radiophoniques dans les écoles de la Commission. Il est un ardent défenseur de la radio éducative.
Poursuivre la lectureC’est en 1909, à l’école Saint-Louis du Mile End, à proximité de l’actuelle école Robert-Gravel que pour la première fois des élèves montréalais ouvrent un compte d’épargne à l’école.
Poursuivre la lectureLe 10 juin 1921, les commissaires de la CECM adoptent une résolution pour l’achat et la distribution des tableaux d’histoire Desrosiers-Bertrand dans les écoles de Montréal. Les tableaux sont produits par Louis-Adélard Desrosiers (1873-1953) et Camille Bertrand (1877-1957). Ils sont illustrés par Jean-Baptiste Lagacé (1868-1946).
Poursuivre la lectureLa Commission scolaire de Montréal (CÉCM) a toujours été responsable de la construction de ses écoles. Elles sont représentatives des principaux styles architecturaux en vigueur à l’époque de leur conception. Le style néo-gothique pour les écoles jumelles Olier et Belmont construites en 1886, le style néo-classique de l’Académie Bourget construite en 1914 ou le style Beaux-Arts de l’école Garneau construite en 1916 et dont la première dénomination est Gabriel-Souart.
Poursuivre la lectureDepuis un siècle, la Commission scolaire de Montréal est un lieu de pouvoir important pour les femmes, que ce soit comme institutrices (enseignantes), professionnelles ou directrices d’écoles.
Avec quelques exemples de femmes remarquables, et un peu oubliées, cette capsule souhaite rendre hommage aux milliers de femmes qui ont donné des services éducatifs de qualité aux élèves de Montréal.
Poursuivre la lectureEn 1846, seulement 377 enfants fréquentent les neuf écoles de la commission scolaire. Les commissaires dénombrent 126 garçons et 251 filles. Même si ces dernières sont en majorité, ce sont les garçons qui sont prioritaires pour la commission. Entre 1850 et 1870, les commissaires investissent prioritairement dans les écoles pour garçons. Les filles sont alors scolarisées par des communautés religieuses et par quelques institutrices indépendantes.
Poursuivre la lectureSeptembre 1968 : création des premières classes d’accueil. Véritable structure d’accueil et de francisation des immigrants, les classes d’accueil permettent l’apprentissage du français par les élèves allophones et leur intégration au secteur régulier.
Poursuivre la lectureEn 1900, Montréal connaît un taux de mortalité infantile très élevé. Un enfant sur quatre meurt avant d’avoir atteint l’âge d’un an. Des distributions de lait pasteurisé dans les écoles de Montréal débutent vers 1925. La pasteurisation du lait, l’accès à l’eau potable et les bonnes habitudes d’hygiène de vie vont améliorer considérablement l’état de santé des enfants des écoles montréalaises durant le 20e siècle.
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